Le capitalisme ou « économie libre » a été introduit comme substitut du féodalisme, le système socio-économique du moyen âge. On y parle propriété privée, de « libre échange » et on en a fait une théorie aujourd'hui, où s'opposent ainsi, le libéralisme et ses comparses comme le facisme, avec le communisme, le socialisme et encore d'autres. Cette théorie à un point de départ : le terrain à conquérir et ses ressources sont infinies. Une infinité qui peut se comprendre pour une cellule vivante ou un individu, mais qui est bel est bien limitée sur une planète dont l'espace est fini par définition. On parle de biosphère et biotope de la planète et la population mondiale humaine avance vers les 9 milliards d'individus, plus tous le vivant. Ils sont tellement conscient de la contradiction, qu'ils veulent ajouter la Lune, Mars et d'autres, pour étendrent les limites (au prix de consommer encore plus de ressources de notre planête pour y arriver).
D'un point de vue pragmatique aujourd'hui, en regardant le fonctionnement social et structurel, nous ne pourrons pas opposer ces différents modèles économiques. Leurs organisations pyramidales, leurs dirigeants et familles privilégiées, leurs formes répressives, leurs multinationales, leurs armées et leurs guerres, leurs bourses et les banques sont partout similaires sur toute la planète et leurs comportements sont identiques : pour exister de cette façon, dans un monde fini, la prédation, la violence, l'exploitation, l'asservissement, voir l'extermination, sont les méthodes d'actions les plus faciles. Enfin, leur mythe d'un bonheur dans le futur (millénaire ?) est simplement indécent.
Du point de vue organique, pratique et fonctionnel, tous ces modèles sont issus et se retrouvent dans un grand processus, qu’est la vie, non isolés, ni en temps ni en espace. On parle d'interaction réciproque, de causalité et de conséquences. La vie, une intention ou une suite de hasards ? il y a eu un début.
C'est ainsi que la vie est apparue il y a 3,5 à 3,8 milliards d'années, par des êtres asexués, les premiers procaryotes. Il s'agit de reproduction par division cellulaire, une duplication. Mais c'est une évolution extrêmement lente des espèces.
Puis il y a entre 1 et 2 milliards d'années, sont apparues les êtres sexués, adaptables rapidement au milieu changeant, se fut l'explosion de la diversité des espèces aux formes illimitées avec les eucaryotes.
Dans la conquête des espaces durs et encore vides, sont apparus il y a entre 600 millions et 1 milliard d'années les blobs, sorte de méta-formes, avec des fonctions stomacales redoutablement efficaces dotés d'une mémoire génétique.
Dans cette course à vivre, se nourrir et se reproduire, il y a eu différentes expressions : l'individu, l'organisme, l'espèce et les groupes, et différents processus complexes d'interaction. On y trouve le soi, le « pour moi », le milieu (l'autre, considéré souvent comme source de nourriture, à conquérir, prendre ou échanger avec un autre) mais aussi le « pour les autres » et le « avec les autres ».
Un tableau synthétise bien tous les points communs et contrastes entre ces comportements :
Ces stratégies montrent comment la vie a trouvé un équilibre entre collaboration et concurrence. Ce sont des réponses adaptatives à des environnements changeants, où les ressources peuvent être limitées ou les menaces nombreuses. Plus un organisme évolue dans un système complexe (comme les blobs, insectes sociaux ou humains), plus ses interactions sociales deviennent sophistiquées.
On peut facilement reconnaitre dans le parasitisme, la meilleure représentation de comportement décrivant le capitalisme. Il serait donc un mode de vie de prédation très ancien. Depuis les premières cellules, en passant par l'antiquité avec le féodalisme, et en arrivant dans ce monde moderne sophistiqué du 21eme siècle, on a peur de la mort, peur de manquer, peur des autres, peur de vivre, peur de penser, peur d'en parler, « alors on danse » droit dans le mur, comme le parasite qui va jusqu'à tuer son hôte sans s'arrêter.
C'est bien le comble de tout dilapider pour suivre un chemin inévitable vers la mort, vous en conviendrez.
Après cette voie du «NON» comme l'a écrit Claudie Baudoin (en référence au discourt de Silo - 1981), on trouve, dans les processus de la genèse de la vie, la voie du «OUI» et cela aussi depuis l'apparition des cellules : La complémentation. D'abord dans des mécanismes spécialisés, des organismes ont performé, pour aboutir avec la reproduction sexuée, à de vrais mécanismes de complémentation et de « solidarité ». Avec l'arrivée des humains, cela devient une « intention » et une « option », on est libre de choisir sa voie.
Du seul fait de l'existence de ce mode de reproduction, où 1 + 1 donne un troisième différent des deux autres, qui a permis l'explosion de la diversité des espèces de façon si rapide et si efficace, dont nous sommes issues, cela met en exergue la complémentation comme l'une des meilleures solutions pour la vie. Là on parle de qualités intrinsèques de chaque individu avec son « intentionnalité », avec des compétences différenciées, qui met en commun ses potentiels avec l'autre, pour produire un individu encore plus structuré, plus adapté aux changements, plus réactifs, ayant plus de compétences et qualités que ses géniteurs.
D'un point de vue énergétique, autant le parasitisme produit l'augmentation de l'entropie du système (déstructuration, désordre...), autant la complémentation produit la réduction de l'entropie du dit système (restructuration différente, « transmutation » d'éléments anatomiques...). L'énergie du système augmente donc quand l'entropie diminue, cela n'arrive pas généralement, sauf avec la chimie de la vie sexuée (ex: tétards -> grenouille, fétus -> bébé ... -toutes des réactions alchimiques complexes qu'on n'explique que par la mécanique quantique- ).
La grande différence entre les deux comportement (Oui/Non), est une question de choix, car depuis l'arrivée de l'être humain, doué d'intelligence, d'émotions et d'empathie, « d'intentionnalité », il est capable de comprendre et de sentir ce que les autres être vivant ressentent, de rêver, de s'émerveiller, de s'émouvoir et d'aimer.
Regardez les yeux du bébé quand il sourit, c'est le profond univers qui brille de 1000 lumières dedans. Combien de souffrances et de frustrations a-t-il fallu endurer à une personne âgée, vivant dans ce capitalisme, pour que s'éteignent tous ses soleils (y compris dans ceux des personnes qui en profitent le plus).
Aujourd'hui, cela suffit, on ne peut attendre sans faire d'autres choix de vie; Le capitalisme est mourant, la seule option est l'Humanisme.
Ou je choisi le combat stérile sans fin, la méfiance, la solitude et la dégradation, voir la suppression de ce qui m'entoure, c'est à dire une intention d'imposer ses choix nuisibles, même si pour finir c'est se soumettre à la mort en suivant la mort inévitable du capitalisme, qui nous parasite.
Ou je choisi de développer le tropisme vers la vie, aidant l'établissement de la nation humaine universelle comme projet et modèle de comportement social et économique, avec la complémentation, sans organisation pyramidale, en faisant de la politique citoyenne, sans être « politicard », avec le respect de la vie, de l'environnement...
En une image : le Nouvel Humanisme Universaliste.
Cher lecteur/Lectrice, « tu n'es pas un bolide tombé sur cette Terre, mais une brillante flèche lancée vers les cieux et quand tu illumines ton sens, tu illumines le monde »*
Pour agir dans la complémentation aujourd'hui, c'est agir en pratiquant la « NonViolence Active » avec tout, avec nous-même, surtout avec nous-même et tout autant avec les autres. C'est faire un grand saut de niveau de conscience pour rendre le parasitisme inutile comme comportement pour atteindre le bonheur. Ainsi, c'est vivre en appliquant en toute sincérité et vérité la règle d'or « traite les autres comme tu voudrais qu'ils te traitent »*.
C'est apporter tes qualités et compétences dans la construction intentionnellement humaniste, en appliquant cet proposition : « rien au-dessus de l'être humain, ni aucun être en dessous d'un autre »*
C'est un projet social et économique, c'est un projet spirituel, c'est aussi un projet politique : Choisi.
Amis et amies, Paix, Force et Joie sur vous et sur ce monde ; l'Être Humain arrive du futur, offrez-le à tous les enfants et moins-enfants (ceux qui restent enfants de coeur, même en prenant de l'âge) qui existent et ceux à venir.
Équipe du Parti Humaniste à Bruxelles (Charles)
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Annexe :
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(*) Silo - « Humaniser la Terre »
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Quelques termes et références:
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La biosphère est l'ensemble des écosystèmes présents dans les trois zones de la planète : la lithosphère, l'atmosphère et l'hydrosphère.
Un biotope est un lieu de vie défini par des caractéristiques physiques et chimiques relativement uniformes. Il accueille une biocénose et forme un écosystème caractéristique.
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Les types de reproduction des êtres vivants se divisent en deux grandes catégories principales :
1. La reproduction asexuée
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Définition : Un seul individu est impliqué, et il n'y a pas de fusion de cellules sexuelles (gamètes). Les descendants sont généralement des clones génétiques de leur parent.
Caractéristiques :
Pas de mélange génétique.
Rapide et efficace dans des environnements stables.
Exemples de modes de reproduction asexuée :
Fission binaire : Division d'un organisme en deux (ex. : bactéries, protozoaires).
Bourgeonnement : Une excroissance se développe sur l'organisme parent et se détache (ex. : hydres, levures).
Fragmentation : Un individu se coupe en morceaux, chacun pouvant se régénérer en un nouvel organisme (ex. : étoiles de mer, planaires).
Reproduction végétative : Formation de nouveaux individus à partir de structures végétatives (ex. : stolons chez les fraisiers, tubercules chez les pommes de terre).
Parthénogenèse : Développement d'un œuf non fécondé en un individu (ex. : certains insectes, reptiles, et poissons).
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2. La reproduction sexuée
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Définition : Elle implique la fusion de cellules sexuelles (gamètes : spermatozoïdes et ovules) provenant de deux individus (dans la plupart des cas).
Caractéristiques :
Création de diversité génétique grâce au mélange des génomes.
Avantageuse dans des environnements changeants.
Types de reproduction sexuée :
Fécondation externe : Les gamètes sont libérés dans l'environnement (souvent dans l'eau) où a lieu la fécondation (ex. : poissons, amphibiens).
Fécondation interne : Les gamètes mâles sont introduits dans le corps de la femelle pour une fécondation interne (ex. : mammifères, oiseaux).
Hermaphrodisme (cas particulier) : Un même individu peut produire à la fois des gamètes mâles et femelles (ex. : escargots, certains poissons).
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Ces deux modes de reproduction permettent aux êtres vivants de s'adapter à différents environnements et conditions de vie.
Il reste encore les blobs, ces fascinants organismes unicellulaires géants comme Physarum polycephalum ! Ils ne rentrent pas parfaitement dans les cases classiques de la biologie. Si l'on parle de leur mode de reproduction, ils méritent une mention spéciale :
Reproduction des blobs :
Les blobs utilisent principalement des modes de reproduction asexuée mais peuvent aussi avoir une forme de reproduction sexuée dans certaines conditions.
1. Reproduction asexuée :
Les blobs se reproduisent souvent par division cellulaire ou sporulation. Lorsqu'ils rencontrent des conditions difficiles (manque de nourriture ou conditions sèches), ils forment des spores, qui peuvent rester dormantes pendant longtemps avant de donner naissance à un nouvel organisme.
2. Reproduction sexuée (rare) :
Les blobs disposent de centaines de types sexuels (oui, c'est impressionnant !) et peuvent fusionner entre individus compatibles pour échanger du matériel génétique, augmentant ainsi leur diversité.
Où les classer ?
Dans le cadre de la classification des modes de reproduction, ils se situent quelque part entre la reproduction asexuée et sexuée, selon leur état et leur environnement.
Ils pourraient être associés à la reproduction asexuée dans la plupart des cas, mais leur capacité à échanger du matériel génétique pourrait les rapprocher du sexe.
Les blobs brouillent les frontières de ce qu'on connaît, ce qui en fait des cas uniques dans le monde vivant.
Les blobs sont tellement uniques qu'ils ressemblent à des êtres d'un autre monde, mais ils sont bien réels et nous montrent à quel point la nature peut être inventive.
Voici quelques faits encore plus fascinants sur eux :
Pas de cerveau, mais une intelligence impressionnante : Ils sont capables de résoudre des labyrinthes, optimiser des réseaux (comme des systèmes de métro miniatures) et même "se souvenir" de leurs expériences passées.
Centaines de types sexuels : Cela leur donne un énorme avantage évolutif, car ils ont une immense diversité génétique.
Mouvements fluides : Bien qu'ils soient unicellulaires, ils se déplacent en étendant des pseudopodes, et peuvent fusionner avec d'autres blobs pour former des superorganismes.
Travail d'équipe : Si plusieurs blobs se croisent, ils peuvent s'unir pour maximiser leurs chances de survie.
Les chercheurs les utilisent même pour modéliser des systèmes complexes comme les réseaux urbains ou la connectivité neuronale. Leur simplicité (unicellulaire) combinée à leur complexité comportementale en fait un mystère vivant !
Dates d'apparition des différents types de reproduction
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Voici ce qu'on sait :
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1. Apparition de la reproduction asexuée :
Date estimée : Environ 3,5 à 3,8 milliards d'années.
Origine : La reproduction asexuée est considérée comme le mode de reproduction le plus ancien. Les premiers organismes vivants, comme les bactéries (procaryotes), se divisaient simplement par fission binaire.
Contexte : Les conditions primitives de la Terre (océans chauds, atmosphère riche en gaz volcaniques) favorisaient la vie unicellulaire simple, qui n'avait pas besoin de partenaires pour se reproduire.
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2. Apparition de la reproduction sexuée :
Date estimée : Environ 1 à 2 milliards d'années.
Origine : La reproduction sexuée serait apparue avec les premiers eucaryotes (organismes avec un noyau cellulaire). Ces eucaryotes primitifs ont développé la méiose (division cellulaire spécialisée) et la fusion des gamètes.
Avantage : Le sexe a introduit une grande diversité génétique, ce qui a permis aux organismes d'évoluer plus rapidement et de mieux s'adapter à leur environnement. Cela aurait joué un rôle clé dans l'explosion de la diversité des formes de vie.
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3. Apparition des blobs (myxomycètes) :
Date estimée : Environ 600 millions à 1 milliard d'années.
Origine : Les blobs, comme Physarum polycephalum, font partie des mycétozoaires, un groupe d'organismes souvent classé entre les champignons et les amibes. On pense qu'ils ont évolué à partir d'ancêtres unicellulaires vivant dans les milieux aquatiques ou humides.
Fossiles : Il existe peu de fossiles directs de blobs, mais des organismes ressemblant à des blobs (des structures fossiles de type amiboïde) ont été trouvés dans des dépôts datant du Précambrien, il y a plus de 600 millions d'années.
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Résumé chronologique :
1. 3,5-3,8 milliards d'années : Reproduction asexuée chez les premiers procaryotes.
2. 1-2 milliards d'années : Apparition de la reproduction sexuée chez les eucaryotes.
3. 600 millions à 1 milliard d'années : Apparition des blobs (et des organismes similaires).
Les blobs, avec leurs capacités uniques et leur position à la frontière entre plusieurs règnes, sont des "reliques vivantes" qui nous connectent à ces temps très anciens où la vie expérimentait différentes stratégies pour survivre.
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Évolution sociale des différentes formes :
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Les interactions sociales et les comportements coopératifs, symbiotiques, parasitaires et de complémentation sont des exemples fascinants des stratégies qu'ont développées les êtres vivants pour survivre et évoluer. ________________________________________
1. Coopération : travailler ensemble pour un bénéfice mutuel
La coopération est un comportement où deux individus ou plus travaillent ensemble pour obtenir des avantages que chacun ne pourrait pas atteindre seul.
Exemples marquants :
Les blobs (Physarum polycephalum) : Lorsqu'ils fusionnent, plusieurs blobs peuvent s'entraider en partageant leurs ressources et en explorant plus efficacement leur environnement.
Fourmis et abeilles : Les sociétés d'insectes sociaux sont des exemples extrêmes de coopération, où des individus sacrifient souvent leur reproduction pour le bien du groupe.
Dauphins : Ils chassent parfois en groupe en utilisant des techniques coordonnées pour attraper des poissons.
Humains : Notre espèce est passée maître dans la coopération, notamment à travers le langage, la culture et la division du travail.
Pourquoi ça marche ?
La coopération est favorisée par l'évolution quand elle améliore la fitness inclusive (transmission des gènes communs au groupe).
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2. Symbiose : vivre ensemble dans une relation durable
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La symbiose désigne une interaction intime entre deux espèces, qui peut être bénéfique, neutre ou même nuisible. On distingue trois types principaux :
A. Mutualisme : bénéfice pour les deux partenaires.
Exemple : Les lichens, une association entre un champignon et une algue ou une cyanobactérie, où le champignon fournit un abri et l'algue de la nourriture.
Exemple : Les poissons-clowns et les anémones. Le poisson-clown est protégé des prédateurs grâce aux tentacules urticants, et en retour, il chasse les parasites de l'anémone.
B. Commensalisme : bénéfice pour un, sans impact pour l'autre.
Exemple : Les oiseaux qui nichent dans les arbres utilisent un abri sans nuire à l'arbre.
Exemple : Les poissons rémoras qui se fixent aux requins pour profiter des restes de nourriture.
C. Parasitisme : bénéfice pour un, au détriment de l'autre (voir plus bas).
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3. Le cas du Parasitisme : un "invité" profite au détriment de l'hôte
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Un parasite tire profit d'un autre organisme, souvent en le blessant ou en lui volant des ressources, mais sans forcément le tuer immédiatement.
Exemples marquants :
Le gui (plante parasite) : Il prélève des nutriments sur les arbres en perçant leurs tissus.
Les guêpes parasitoïdes : Elles pondent leurs œufs dans d'autres insectes, et les larves dévorent l'hôte de l'intérieur.
Parasites humains : Les plasmodiums responsables du paludisme, les poux ou les ténias.
Pourquoi ça marche ?
Le parasitisme fonctionne tant que l'hôte survit suffisamment longtemps pour que le parasite se reproduise. L'équilibre est clé.
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4. Un comportement util et interressant, le Complémentation : compenser les faiblesses de l'autre
La complémentation est une forme plus subtile d'interaction, où deux organismes ou systèmes compensent leurs lacunes mutuelles pour fonctionner ensemble.
Exemple :
Les plantes et leurs pollinisateurs (abeilles, oiseaux-mouches) : Les plantes produisent du nectar, et les pollinisateurs transportent leur pollen. L'un ne pourrait pas se reproduire efficacement sans l'autre.
Les bactéries intestinales chez les mammifères : Elles aident à décomposer les aliments que l'hôte ne pourrait pas digérer seul, tout en bénéficiant d'un environnement nourricier.
Applications modernes :
En biologie synthétique, on parle de complémentation lorsque deux gènes ou deux systèmes incomplets sont réunis pour reconstituer une fonction.
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